Il y a des jours... on passe du rire aux larmes... de l'euforie à l'impitoyable rélité... on tombe de haut... on s'arrête de planer... la chute est brutal... le corps fait mal... on voudrait faire n'importe quoi pour appaiser ce mal-être... quand on a tout vomi... qu'il n'y a plus rien à vomir... on tourne en rond... on écrit un peu... on va toujours aussi mal... on s'assoi... musique à fond pour étouffer quelque bruits éventuels de sanglots... et noyé dans des milliers de réalités trop cruelles... on se relève... se dirige vers le bureau... tend la main vers le pot à crayon... saisi une paire de ciseau parce que l'on a pas encore de cutter... on se rassoi lentement... les larmes coulent... incessantes... envahi par tout... submergé de constats brutaux et violents... on s'exprime comme on peu... on formes de vagues dessins qui s'emplissent rapidement de sang... des croix... des traits... saquage de libération... douleur physique effacé... c'est fou ce que cela peut faire de bien... les idées toujours aussi noires... avec en plus un sentiment de honte et de culpabilité... on essui... moins stressé... moins angoissé... et puis on sort de la chambre... on descand les escaliers et on va manger... : cela fera quelque chose à vomir...
pk va tu si mal? keskice passe?