Dans ces moments... je ne contrôle plus rin... je ne me contrôle plus... c'est mon corps qui parle seul de ma souffrance... qui s'étire et empiète sur mes parcelles de vie que je tenais encore à protéger...mon corps me dicte quoi faire... il me maîtrise comme une petite poupée de chiffon délicate... délicate... oui il le fait doucement... mais dans une immense violence sans mouvement saccadés... il me fait me mouvoir... il me fait oublier toutes mes petites résollutions monumentales... alors... comme un automates... j'obéis à ses ordre... il prend possetion des moindres partie intactes de ce que je protégeais en moi... il me guide et m'oblige sans mot da sommation... mais je fais ce qu'il me dicte... mon corps me mène... alors je deviens quelqu'un d'insensible... quelqu'un que je déteste encore plus que moi... je suis horrible... Mon corps évacue ce que je préfère nier... il est conscient de tout ce que je préfère ignorer... et c'est sans doûte pour cela que je le hais tant... sans doûte parce que lorsqu'il me fait vomir... losqu'il me fait saigner... losqu'il me fait manger... lorsqu'il me fait taire... lorsqu'il me fait sombrer... il me montre du doigt tout ce que je ne veux pas voir... tout ce qui me hante sans que je ne veuille en prendre conscience...

Quand la terre bouge, mon coeur tramble... quand le monde bouge, mon coeur tremble... quand les gens bougent, mon coeur tremble... quand les penseées s'envolent, mon coeur reste... mais ma vie change...

Mourir pour toi
Mourir pour tous
Mourir pour oublier
Mourir pour ne plus pleurer
Mourir pour ne plus souffrir
Mourir pour aimer
Mourir pour qu'on me laisse

Tant de raisons
De partir si vite
De voller tranquillement
Mais qui pourrait
Ne pas l'ignorer
Essuyer mon sang
Calmer ma détresse
Effacer ma mémoire
Apaiser ma douleur

Pleurs d'amour
Pleurs de rie
Pleurs de tristesse
Pleurs de déception
Pleurs de crainte
Pleurs d'abandon
Pleurs à cause de moi

Tant de raisons
D'innonder mes yeux
De voir flou
Mais qui voudrait
Ne pas me faire mal
Essuyer mes larmes
Calmer mon chagrin
Effacer ma peine
Apaiser ma douleur

Ces repas interminable... ennui... mot clé de la table... indignation... mot clé du silence qui pèse sur mes mots...

(J'aimerai m'évader
Je voudrais m'enfuire
Cet endroit est le pir de tous
Je ne peux vivre ici
Cet endroit c'est...
C'est un immense puit
Puit sans fond
Où je sombre sans m'arrêter
Et la vie n'y est que déception
Comment puis-je résister ?
L'appel de dehors
L'appel à la vie
L'éspérence le rêve, la magie
Tout cela est bien finit
A moins de m'échapper
Pour ne plus souffrir
Toute seule dehors, libérée
Je pourrais enfin sourire...)

C'est fou ce que l'oppression étouffante peut faire dire quand on se relit... mais ces pensées sont les miennes et je veux quand même les écrire...