• Ces gèstes que j'exécute à l'infini
    Ces mots que je prononce à l'infini
    Ces cris que je pousse à l'infini
    Ces mimiques que je fabrique à l'infini
    Ces images que je vois à l'infini
    Ces rêves que je détruis à l'infini
    Cet infini qui m'appartiens
    Cet infini qui me dépasse et me métrise
    Comme un monstre abrutissant

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  • Si tu savais
    Mais je crois
    Que tu sais
    Ce que je vois
    C'est ton coeur
    Rien que pour moi
    Ca fait peur
    Quelque part
    Tant de liberté
    Venu de nulle part
    Tombée
    Du ciel ou
    De je ne sais quoi
    Proffitons de tout
    Proffite de moi
    Proffite de mon corps
    Doucement effleure
    Dis-le encore
    Dis-le toujours, j'ai peur
    Que tu te taise
    Alors prends-moi enfin
    Que je te plaise
    Je veux qu'on s'aime plus loin
    Je t'aime


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  • Résonnant comme l'écho de mon coeur
    Frissonant comme le font de ma peur

    Sonnant pour te prévenir
    Criant pour te le dire

    Oubliant, te voilà enfin toi
    Pleurant, te reconnais-tu en moi

    Allant voir ce qui se passe
    Voullant voir ce qui tracasse,

    Cherchant une idéale de vie
    Trouvant une vision de ton cri

    Etant image de souffrance méritée
    Restant image du bohneur désiré

    Essayant de veiller le soir
    Prétendant de rester te voir

    Imaginant l'amour de vivre en paix
    Devinant l'amour par petits éxtraits

    Si beau pour moi... parfait...


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  • J'éspère que tu penses à moi... Tu ne peux pas savoir à quel point tu me manques. Pareil à la princesse noire et défaite en haut de son donjon inaxessible, j'attends de pouvoir vivre. Tu ne peux pas savoir à quel point je souffre d'être enfermée ici. J'étouffe tel un poisson hors de l'eau. Toitu serrais l'eau et tu me serais vital. Je voudrais partir... partir d'ici, de cette prison où l'amour n'est que haine et peur... Je voudrais te rejoindre... Je ne peux pas attendre... je ne peux plus... je manque de toi... Comme si la vie n'avait aucune importance, ici, le temps semble s'être arrêtée. Comme si la superficialité avait gaché la joie... Mais toi... toi tu reste une image fixe qui ne cesse de réapparaitre dans mon esprit, qui flote au milieu d'un mon d'ennui. Source de plaisir et d'évasion, quand je pense à toi... j'oubli presque que je suis enfermée ici... Tu m'apporte une bouffée d'oxygène dans ce lieu que je déteste et où j'agonise. Comme j'aimerai que tu penses à moi à cet instant précis... Tel la princesse noire et défaite dans son donjon inaxessible... j'éspère presque que tu viendra me libérer avant que je ne sois détruite...

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  • Mon univers se déchire en deux... mars et vénus ont décider de faire la guerre... vénus critique... mars préfère fuire... alors que notre petit système solaire tentait veinement de retrouver le calme qui l'avait régit jusqu'à présent... un calme heureux et pénible... les deux opposés font mine de rien et décident chacun de leur côté et sans l'accord de l'autre... de foutre en l'air notre vie... comme dans une synchronisation invollontaire mais arrangeante... et moi... ici... je me sens comme un astéroïde... navigant entre deux au gré des chants magnétiques de mars ou de vénus... j'arbittre... je sert d'avocat à l'un ou à l'autre... je volle sans faire attention... je ne peut rien faire... juste constater du trouble que je sème et de se que j'ai réussi à créer comme désordre... c'est de ma faute... et comme un lache souvent... j'aimerai me détrire, moi astéroïde... ou bien me paumée dans le néan du vide sidéral... mais pour l'instant... je suis un illustre avocat que tout le monde croit solide... alors... moi astéroïde... je garde mon envellope de pierre pour laisser s'effondrer en moi... la vie foisonnante que j'avais créée... je tiens encore... entre mars et vénus... mais un jour... cet équilibre instable va craquer par mon manque de rigueur...

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